La première journée de grève du Syndicat Libre des Enseignants et chercheurs de Guinée (SLECG) commence déjà à faire des effets même au centre-ville de Kaloum.
Des élèves qui n’ont pas trouvé de professeurs en classe ont investi les artères publiques pour manifester leur mécontentement ce mercredi matin.
La manifestation a tourné court. Les forces de l’ordre sont intervenues dispersant les manifestants à coup de gaz lacrymogène.
Ce nouveau bras fer entre le SLECG d’Aboubacar Soumah et le gouvernement résulte de l’inapplication de l’accord du 10 janvier dernier qui avait permis de mettre fin à la grève qui avait paralysé trois mois durant le système éducation éducatif, notamment le pré-universitaire.
Mamadou Bhoye Bah